La supervision est un processus interactif entre un mentor ou coach voir un autre accompagnant de la relation d’aide, qui partage ses expériences professionnelles avec un superviseur afin d’être conseillé et de nouer un dialogue propice à la réflexion et à l’apprentissage collaboratif, pour le plus grand bénéficie du mentor ou du coach, de ses clients et organisation.
La supervision s’adresse à:
tout professionnel(le)s de la relation d’aide (coachs, thérapeutes, mentors, médiateurs, praticien(ne)s en médico-social, métiers des Ressources Humaines …) qui accompagnent des transformations humaines individuelles ou collectives.
La supervision de coach est un processus d’accompagnement des coachs leur permettant de réfléchir sur leur pratique professionnelle, de se remettre en question et de trouver des solutions à des problèmes spécifiques liés à leurs clients ou à leur entreprise.
Les bénéfices de la supervision sont nombreux pour les coachs et dirigeants, notamment :
Sur un plan purement déontologique:
La supervision est importante car elle permet de s’assurer que les coachs respectent les normes éthiques et professionnelles de leur métier.
Ma pratique s’appuie sur les normes éthiques et professionnelles de mon métier, en agissant conformément au Code de Déontologie de l’EMCC et en coopérant avec les procédures de l’EMCC en cas de plainte pour infraction au Code.
Le Code de Déontologie est central dans la pratique professionnelle du métier de Coach Professionnel
Le rattachement à un Code est demandé à l’occasion de référencements dans les entreprises et les organisations ou encore dans les appels d’offres.
L’adhésion à l’EMCC France vous garantit d’être juridiquement rattachés à un Code partagé par des milliers des praticiens sur les cinq continents et garantit à votre client et vous-même de pouvoir bénéficier d’un tiers de confiance indépendant en cas de difficultés dans l’exécution d’un contrat.
L’approche de la systémique comme celle de la psychanalyse ont en commun de travailler autour de la relation d’aide et intègrent toutes les deux l’intervenant dans leur mode d’intervention.
Elle repose sur une ouverture vers cette dimension.
Au cœur de la démarche, on retrouve une gestion de la relation d’aide visant à rétablir les capacités d’identité (d’affirmation de soi ) et d’altérité ( d’entrer en relation avec les autres).
Être superviseur nécessite d’avoir fait un réel chemin de transformation intérieure.
D’être en capacité dans cet espace intersubjectif, ou se rencontre des personnes avec leur inconscient de s’inscrire dans un paradigme constructiviste.
Dans ma vision la posture de superviseur postule une conscience de soi impliquant une verticalité et un alignement dans sa dimension intérieure, ses valeurs, ses croyances et sa singularité.
Elle nécessite donc un double travail, d’unification interne d’une part, et de reconnaissance externe d’autre part.
Ça demande pour cela, de pouvoir s’observer et asseoir un regard doux et bienveillant, ce qui va nécessairement entrainer une vraie posture d’écoute et d’humilité, et d’authenticité favorisant ainsi la co-création.
Les séances de supervision que j’anime sont de nature systémique en ce sens qu’elles prennent en compte la complexité des écosystèmes du client, du supervisé et du superviseur), analytique car elle postule la rencontre du supervisé aux difficultés éprouvées dans le processus d’accompagnement de son client et didactique (une exploration qui vise à développer chez le supervisé un savoir (des connaissances), un savoir-faire (des aptitudes) et un savoir-être (des attitudes).
Pour comprendre la dynamique des écosystèmes, il faut introduire la notion d’entropie ( Rodolf Claussius ) lui-même énonçant que « l’entropie d’un système isolé ne peut croitre ».
Elle porte sur une dimension globale de la personne dans toutes les dimensions de son être : Niveau mental, physique, émotionnel et spirituel.
Dans ma vision , il n’y a pas de séparation entre ces différents plans.
Ils sont tous connectés, ils communiquent ensemble et nous transmette des messages.
En tant que Coach, la vision que je partage et celle que nous sommes responsables de nos actes de nos pensées de discours que nous avons envers nous-mêmes, ou à l’égard des autres.
C’est là que réside le pouvoir créateur et transformateur de notre vie.
Mon approche est à la fois intégrative et holistique partant du postulat que toutes les théories sont liées et se nourrissent mutuellement.
Car elle peut s’adapter à la complexité.
En effet, quel que soit le référentiel utilisé , le but reste le même : donner du sens à ce qui semble épars à travers un cadre contenant ».
Car elle porte sur une dimension globale de la personne dans toutes les dimensions de son être: physique, énergétique, émotionnelle, psychique, mentale, socio-culturelle et spirituelle.
Dans ma vision, il n’y a pas de séparation entre ces différents plans.
Ils sont tous connectés, ils communiquent ensemble et nous transmette des messages.
Mes références théoriques reposent sur les plusieurs grands courants des sciences humaines comme l’Approche Systémique, ainsi que les psychologies humanistes telles l’Analyse Transactionnelle, la PNL, la Sociologie des Organisations et également la psychopathologie.
J’ai une affection particulière pour l’analyse transactionnelle dans mes accompagnements d’une part car cette approche humaniste a été d’un grand soutien dans la relation d’aide, lorsque j’occupais des fonctions de dirigeante d’un service médico-social et aussi mais aussi car quel que soit l’accompagnement, et même en supervision, elle présente deux spécificités et joue un rôle majeur dans la relation superviseur/supervisé.
Stimule la pensée irrationnelle de l’enfant et nous permet de retrouver notre énergie vitale, elles doivent ouvrir l’esprit du client Crapaud et Prince sont des métaphores comme les états du moi ou les 3P (Protection, Permission, Puissance).
L’analyse des transactions que le superviseur doit croiser pour donner un cadre sécurisant au supervisé. Il traduit la similitude des phénomènes qui se manifeste entre le coach et le superviseur ainsi qu’entre le coach et son client, il est différent du contre-transfert qui traduit le ressenti du superviseur vis-à-vis du supervisé