Le Coaching est avant tout une discipline transversale des sciences humaines, centrée sur la personne visant à l’amélioration immédiate des performances, la réalisation d’objectifs concrets et suggère les comportements pas une intervention bienveillante et non directive.
Le Coaching renvoie d’un principe d’action et à une responsabilité inaliénable de l’individu.
Le Coaching consiste à accompagner des individus dans une démarche de changement, à un moment clé de leur vie, par rapport à un besoin exprimé, jusqu’à l’atteinte d’objectifs précis.
Être dans une posture de coach suppose des valeurs, des convictions, des attitudes, des comportements et de compétences.
Au delà d’une posture c’est aussi créer des conditions d’accueil, ou ce dernier devient, en vérité et en profondeur, le centre de l’attention.
Un contrat écrit ou oral se met en place lors de la première rencontre et qui établit les conditions mutuelles de réussite entre le coach et le coaché.
– La personne coachée définit l’objectif qu’elle veut atteindre (et est évalué en terme d’engagement réel en cours de route)
– Le coach s’engage sur un progrès explicite et concret, vers l’atteinte de l’objectif
Une séance dure entre 1h et 1h15.
Lorsque l’objectif est atteint, il est procédé à un bilan.
C’est très variable. Cela peut durer d’un mois à un an, en général. Le rythme et la fréquence des séances sont à évaluer avec le coach et dépendent de l’objectif qui est fixé.
Ma croyance négative = « J’ai peur et je suis nulle ! Je ne serai jamais une bonne conductrice »… Je vous invite à identifier vous aussi, votre propre croyance négative et à faire l’exercice suivant :
Quelques exemples de croyances limitantes :
« Le bonheur, ce n’est pas pour moi. »
« Je ne mérite pas de… »
« Je n’y arriverai jamais. »
« Je suis nul, sans talent… »
« On ne peut faire confiance à personne. »
« Je dois agir en fonction de l’autre. »
« Aimer c’est forcément souffrir. »
« Je n’ai pas le droit à l’erreur »
« Pour mériter ce que je veux, je dois souffrir »
« Je suis trop timide pour rencontrer quelqu’un »
D’abord chercher l’origine de cette croyance : s’appuie-t-elle sur des faits précis ? Listez-les si nécessaire. Est-elle légitime ? Identifiez aussi les personnes qui auraient conforté ou non cette croyance.
Et si on changeait la croyance limitante en affirmation positive, ça donnerait quoi ?
« Je suis trop timide pour rencontrer quelqu’un »
Affirmation positive :
Ma timidité est une force si je décide de la valoriser comme une qualité et non comme un défaut.”
En quoi ma timidité est une force ?